Longuement confit, cet ail en chemise possède une texture charnue et un goût sucré proches d’une pâte de fruit. Sain et digeste, il se substitue à l’ail et sublime de nombreux plats du quotidien, ou se mange au naturel.
Il se marie aussi bien dans les soupes et les salades que sur des tartines grillées ou sous forme d’aïoli avec de la volaille ou du poisson. L’ail noir mêlé à une sauce tomate pour pizzas ou pâtes ravira vos papilles. Vous pouvez également l’ajouter dans un risotto aux champignons ou dans la préparation de champignons farcis. En effet, l’ail noir s’associe à la perfection avec les champignons et particulièrement avec les shiitakés. Il s’accorde à merveille avec les sauces, les marinades ou dans le jus de cuisson d’une viande. Pressé dans un écrasé de pommes de terre, l’ail noir sublimera avec finesse la pomme de terre.
La douceur de l’ail noir lui permet de s’associer avec des préparations sucrées en tout genre. En effet, il parfumera subtilement tous vos desserts à base de chocolat mais également dans votre confiture maison ou une préparation à base de fruits.
Pour obtenir ce fameux produit, on utilise des têtes d'ail frais, que l’on place dans un sac de cuisson spécial, puis dans une boîte en acier pour éviter la surchauffe. La cuisson s'effectue dans un four à humidité et température contrôlées : cela permet d'éliminer l'excès de composants sulfurés de la plante, principale cause de la forte odeur de l'ail. Durant ce processus de 3 à 4 semaines, les gousses prennent petit à petit la couleur brune et la texture moelleuse caractéristiques de l'ail noir, et le produit développe son arôme et son goût sucré. À la fin de la "cuisson", les têtes sont retirées des sacs et sont mises à sécher pour encore 2 à 3 jours.
Les bénéfices de l’ail noir sont bien connus. Grâce à l’ail noir, les coréens font du bien à leur corps et surtout, n’ont pas les inconvénients de l’ail frais (haleine forte et odeur tenace). En plus, il se digère mieux…